GER . Groupe d'évaluation de la réflexologie

Il s'agit d'un laboratoire d'idées et d'actions informel regroupant des chercheurs/chercheuses, réflexologues engagé(e)s dans la recherche, directeurs /directrices de centres de formation aux réflexologies, représentant(e)s de fédérations et syndicats de réflexologie.

 

Actif depuis 2020, la constitution du groupe partait du constat que dans la littérature scientifique, les études cliniques en réflexologie sont souvent jugées plutôt faibles en preuve. Il est impossible d'évaluer pleinement ou de reproduire des interventions de réflexologie notamment du fait que la description est trop succincte, incomplète voire absente. Parfois la durée et/ou le nombre de séances sont indiqués, mais ces détails sont bien sûr bien faibles. L'évaluation et la réplication des interventions dans la pratique vont dépendre notamment de la façon dont les protocoles ont été décrits dans les études. La compréhension et la clarification des 'mécanismes' va aussi en partie alimenter ces précisions.

Pour convaincre du bien fondé, apporter des preuves satisfaisantes à la communauté scientifique (car les bénéficiaires l'expérimentent déjà) il est nécessaire aussi d'utiliser un socle commun, un langage commun pour décrire ce qui est fait, une carte réflexe de première!ère intention commune.

La personnalisation est l'un des grands atouts de la réflexologie et proposer un motif de grandes lignes directrices et de repères dévaluation tout en conservant dans la mise en œuvre l'adaptation/l'adaptabilité à la réalité observée sous les doigts, et les qualités de la relation d'aide dans le cadre des études formalisées constitue un challenge pour cette INM (intervention non médicamenteuse) comme pour les autres. 

Ce groupe a fonctionné de 2021 à 2023 sous l'égide de la société savante NPIS puis est redevenu indépendant.

Actuellement (2024) plusieurs sous-groupes de travail sont actifs notamment un relatif à l'élaboration d'une cartographie réflexe plantaire  'consensuelle'.

 

Contact coordination : Emeline Descamps, chargée de recherche INSERM

 

En savoir plus bientôt.